LA MAGIE NOIRE

Dans l’esprit du public, il n’y a pas une seule forme de magie, mais bien deux : La magie blanche et la magie noire.
Il y a lieu de prendre la Magie noire, comme la Magie dans son ensemble, avec le plus grand sérieux.
De plus en plus d'adeptes s'initient à la magie noire sans la maîtriser, nous pouvons entendre dans les médias de plus en plus de faits se relatant à la pratique la magie noire.

Définition de la magie noire 

La Magie noire est un outil très puissant, ses forces sont aussi grandes d'impénétrables. Il faut toujours garder à l’esprit qu’elle peut changer sa propre vie, tout comme celle des autres. La magie noire a le pouvoir de provoquer des changements en utilisant des forces qui ne sont pas définies par la science.
La magie noire semble souvent effrayer bien des personnes, ceci est dû à la chasse aux sorcières qui dura plusieurs dizaines d’années, notamment dans la ville de Salem, aux Etats-Unis, vers 1620. Cette période est largement responsable de toutes les idées préconçues que nous nous faisons actuellement sur la magie noire. Il est de nos jours très facile de faire régner la confusion entre magie blanche et magie noire.

Les origines de la magie noire 

La magie noire existe depuis la nuit des temps, nous avons pu retrouver des traces de magie noire à l'époque de la Préhistoire où l'on a pu retrouver des bâtons possédant des inscriptions qui montraient le pouvoir des sorciers. Dans l’antiquité, la magie noire se nommait « goétie », les énergies négatives et les mauvais esprits étaient invoqués par des incantations ayant pour but de faire du mal à autrui. C’est surtout à partir du Moyen Âge que l’église chrétienne, redoutant la concurrence dans le domaine du surnaturel, a relégué la magie dans les arcanes du mal, confondant dans sa condamnation la magie blanche et la magie noire.
Aussi appelé « satanisme », les rituels de magie noire étaient opposés aux rites de l’église catholique : les noms des dieux étaient remplacés par ceux des démons, le vins par le sang, l’hostie par des racines…. 
Jusqu’au XIIIème siècle, les autorités religieuses prétendaient que la magie, comme la sorcellerie, n’existait, tout en éliminant celles et ceux qu’ils croyaient en être les auteurs. Le mage, ou grand prêtre, passe alors du statut de charmant à celui de sorcier. Il est obligé d’œuvrer dans la clandestinité. Exclu de la communauté chrétienne, le sorcier l’est ensuite de la société. Il s’éloigne de la ville pour être consulté en secret.
Aujourd’hui, les sorciers (ou mages) pratiquant la magie blanche, sont des personnes honnêtes qui œuvrent pour le bien des gens en suivant les préceptes d’une tradition très ancienne.